Cruelle altérité:

Ces drames silencieux dont l’écho ne va pas plus loin de l’esprit dans lequel on les ressent, meurtrissent pourtant et désolent toujours. Ajoutés à la non-électrification de la contrée et à un manque monstre d’eau propre (lire de « Dégou-Niayes : L’Eau en charrette » sur ce même blog), les villageois crient leur malheur. Mais, ils ne sont presque jamais entendus. Chaque campagne électorale qui passe est un revers enregistré pour eux. Ma foi, ils sont tout temps dupés par des politiciens véreux qui leur promettent monts et merveilles avant de repartir dans leurs belles voitures.